°○ Hirashikiyama Fumi ○° Forumh11

Bienvenue dans cette prestigieuse académie asiatique, mais aussi occidentale, réputée pour ses nombreuses options, ainsi que son confort.
Et oui, il est inutile de prendre le tramway ou de venir en voiture lorsque les dortoirs se trouvent juste à côté de l'établissement scolaire!
Cette académie accueille les collégiens, les lycéens, mais aussi les étudiants universitaires.
C'est une belle académie vu de cette façon, mais encore faut-il avoir les moyens de payer car tout ceci n'est pas donné! Elle est réservée à la haute société, et donc très chère, si vous êtes un prolétaire arriverez-vous à l'intégrer?
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 °○ Hirashikiyama Fumi ○°

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Hirashikiyama Fumi
~° Souriez =) :: Bimbo et alors? °~
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Hirashikiyama Fumi


Sagittaire Buffle
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Emploi/loisirs : Cuisiner ! Un jour je serais reconnue !
Sentiments, humeur : Envie de cuisiner ~

Carte d'étudiant/de professeur
¤ Clubs/Métiers ¤: Cuisine. / Travail au Emerald Kingdom
¤ Année & Etablissement ¤: 4ème année de lycée.
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MessageSujet: °○ Hirashikiyama Fumi ○°   °○ Hirashikiyama Fumi ○° EmptyLun 26 Juil - 8:34

[Hirashikiyama Fumi]

°○ Hirashikiyama Fumi ○° Fumiva13




  • ¤ Personnage ¤

- Nom & Prénom : Hirashikiyama Fumi.
- Surnom(s) : Pour le moment, aucun.
- Âge, lieu et date de naissance : J'ai 17 ans, née à Inuyama le 20 septembre.
- Sexe : Fille.
- Préférence sexuelle : Hétérosexuelle.
- Origine(s) : Française et japonaise.
- Nationalité : Japonaise.
- Langues parlées : Japonais et Anglais.
- Année scolaire : Quatrième année de lycée.
- Club(s) : Cuisine.
- Pensionnaire ou externe ? : Pensionnaire.
- Classe sociale : Prolétaire qui s'assume.
- Groupe : Je dirais Bimbo mais je suis déjà dans ce groupe XD
- Prédéfini ? : Non

- Description physiologique :
Oh, je ne suis pas une métisse, que ce soit origines ou classe sociale. En général, c'est-à-dire, mon corps. Je suis assez grande, 1m71 pour cinquante trois kilogrammes. J'en suis fière, d'ailleurs ! Je suis légèrement bidée je crois, mais je n'en fais pas un complexe, après tout ça ne sert à rien, on est comme on est et la perfection n'existe pas ! Il faut savoir s'aimer avant de pouvoir aimer les autres. J'en ai dans la poitrine, et oui ! Un peu française sur les bords, donc on peut comprendre ma taille et ma poitrine. Pour le reste, je suis tout à fait banale ! Vraiment ! Mes membres (bras et jambes, je le rappelle car sait on jamais xD) sont tout à fait normaux et rentrent dans les proportions de mon corps. Mes doigts sont fins, je les manie avec une dextérité plutôt correcte et une agilité correcte aussi ! Enfin, c'est surtout pour cuisiner après tout ! Pour mon visage il est également très banal. J'ai des cheveux bruns coupés courts et possède une frange. Mes sourcils sont fins (ce qui est plutôt une veine car certaines personnes peuvent avoir de gros sourcils ! Si si !). Mes pupilles quant à elle sont couleur chocolat au lait, noix de coco ou caramel, selon la luminosité qui parvient jusqu'à mes yeux. Mon nez est fin et petit. Ma bouche est normale. Mon visage est toujours joyeux même lors des difficiles choses à faire ! Et oui, je la tiens, cette promesse !

Quant à son style vestimentaire c'est juste ce qui lui tombe sous la main, la simplicité avant tout, pourquoi se compliquer la vie ?

- Description psychologique :
J'espère que je ne sur-évaluerais pas trop au dessus de ce que je suis vraiment mais je dirais souvent l'impression que j'ai de moi.
Par rapport aux gens qui sont de ma classe ou en dessous, je me comporte de manière agréable. Je n'aime pas me bagarrer et je n'aime pas les problèmes, alors je fais tout pour éviter ça ! Si jamais ça arrive, je fais en sorte de stopper ces disputes. Je suis gentille et je donne pratiquement tout le temps un coup de main aux gens qui en ont besoin... sauf si c'est trop dur et que je n'y arriverais sûrement pas. Je fais selon les moyens que je dispose. Je ne me défile pas ! é.è Je n'hésite pas non plus à donner de l'argent à un clochard ou même à l'inviter manger avec moi. J'écoute ceux qui ont besoin de se confier. D'après un dicton, « C'est toujours plus facile de parler à un inconnu qu'avec des gens proches. ». Ou du moins c'est quelque chose comme ça ! Ceux que j'apprécie bien sont généralement ceux qui sont au même niveau que moi et même en dessous ! Je me comporte de la même manière le plus souvent. Je n'hésite pas à confier mes inquiétudes et mes angoisses ou mes problèmes assez faibles aux gens que je connais plus ou moins bien. Ceux que je connais depuis des années, baaaaah... je leur dis tout ! Enfin pas tout exactement, il y a des choses que je préfère éviter de dire. Ah aussi, si jamais je suis énervée généralement je sors des insultes plus grosses les unes que les autres et je ne me modère pas comme à mon habitude. J'aime pas dire des " gros mots " mais je m'y vois contrainte et forcée pour me faire entendre. Vous voulez savoir comment je me comporte avec les gens riches ?
Euhm, c'est assez bête mais je me conduis exactement de la même manière. Je me dis que ce sont des humains et que même avec les barrières sociales euh, ce sont des humains ! xD Je vois pas ce qu'ils peuvent être d'autres ? Des gens avec du pouvoir, de l'influence et de l'argent ? Oui, peut être. Ce sont des êtres vivants, à près tout. Mais d'un côté...
J'avoue cependant que ce n'est pas ma tasse de thé et que j'ai du mal à les supporter. Il y a plusieurs genres de riches : ceux qui sont hautains, égocentriques, qui considèrent ceux qui n'ont pas de pouvoir comme de simples jouets/serviteurs ne méritant pas d'être appelés par le nom. Ceux aussi qui essaient de comprendre les autres alors qu'ils n'ont jamais traversé ce que ces personnes ont traversé. Ceux qui aiment donner des ordres à tout va alors qu'ils ne savent rien faire et qu'ils ne savent même pas à quel point c'est dur. Puis vous avez ceux qui sont... très bizarrement, gentils, compréhensifs, qui ne posent pas de questions... Ceux là sont des perles à mon goût, ils sont trop rares. Je sais que c'est un peu me contredire or je crois que je hais les riches. Je pense que même avec ce que j'ai dis plus haut (le fait qu'ils soient humains) ne me suffit pas et ne me convient pas. C'est idiot, j'aurais beau essayer de me montrer agréable, de bien me comporter et tout; au fond de moi ils me donnent envie de vomir. Ils ont tout ce qu'ils veulent, il n'ont pas besoin de travailler, EUX ! Ils ne savent pas ce que c'est de travailler quand on est encore un enfant. Ils ne savent pas ce que ça fait de se faire avoir par ses propres « parents ». N'empêche que je continuerais TOUJOURS de sourire. Je l'ai promis. Je sais que certains riches travaillent pour montrer qu'ils sont indépendants mais c'est pas suffisant, ça non plus.
A part ça, je suis plutôt réservée me concernant. Je n'aime vraiment pas parler de moi puisqu'il s'est passé des choses qui me sont dures à digérer, même maintenant.


En général, la demoiselle n'est pas un ange mais n'est pas non plus un démon. C'est une fille ouverte, généreuse, calme, sérieuse, agréable, douce et gentille, qui cependant manque de confiance envers les autres. Comme elle sait qu'elle ne peut pas compter forcément sur les gens car ils pourraient la dénoncer si jamais c'est elle qui fait des bêtises, elle ira elle même avouer ses crimes. Néanmoins, elle déteste que les autres qui font des bêtises ne s'avouent pas le jour même. Tous les directeurs, les sous-directeurs, les chefs pédagogiques ont toujours dit que si jamais ils trouvent un coupable des mois après, la sanction sera le nombre de mois plus fortes qu'elle l'aurait été si cette personne l'avait avoué dans la semaine. Comprenez que c'est elle qui allait se dénoncer car elle voulait toujours couvrir les autres pour ne pas qu'il leur arrive malheur. Très gentille, n'est-ce pas ? Elle assume toujours ses responsabilités et celles des autres en portant les erreurs de ceux qui se conduisent mal. Mais tout en refusant que ce soient les autres qui portent ses erreurs quand c'est à son tour. Beaucoup de personnes lui en doivent une (ou plusieurs).

- Relation(s) :
Famille : J'ai un oncle nommé Akira. J'ai un petit frère,
- Particularité(s) : Je détestais mes parents, les riches, les profiteurs, ceux qui se croient tout permis, ceux qui se prennent pour les rois du monde, les riches qui pensent pouvoir comprendre les autres tandis qu'ils ne le pourront jamais. A l'inverse, j'aime Akira-jii-chan, mon petit frère, la cuisine et faire plaisir aux autres grâce à mes gestes.
- Autre(s) : Rien d'autre à préciser. A si, pendant tout ce temps je n'ai pas pu me consacrer à l'amour ni à l'amitié, ma vie a été tellement mouvementé que... j'ai pas eu trop trop le temps. Néanmoins j'ai eu des amis (Hasegawa Ai-san et Fujiwara Takeshi-sama) et des ennemis (famille Kawazami).



  • ¤ Derrière l'ordi' ¤

- Prénom : Eléna =D
- Sexe : Fille ^^
- Âge : Douzeuh années x]
- Serez-vous actif ? : 8/10, c'est les vaaac's *O*
- Comment avez-vous connu le forum ? Euh, ça fait super longtemps xD J'ai oublié u_u" (anciennement Shizuka Natsu)
- Qu'en pensez-vous ? Des suggestions à faire ? : Euuuh, je passe xD
- Commentaire : I bite you if you don't listen BOSS (Mika)! Pigé ? èwé ? xD Oh et désolée pour la longue histoire ! XD Je ferais un résumé ^^"

- Code du règlement : Ohhh, s'tout mignon ^^ XD Bon Code


Dernière édition par Hirashikiyama Fumi le Lun 26 Juil - 8:58, édité 1 fois
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Hirashikiyama Fumi
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MessageSujet: Re: °○ Hirashikiyama Fumi ○°   °○ Hirashikiyama Fumi ○° EmptyLun 26 Juil - 8:57

- Histoire : [15 lignes minimum]
Je suis née un vingt septembre à Inuyama, au Japon. Jusqu'à mes treize ans je ne savais rien de mes véritables parents, pour moi mes parents adoptifs l'étaient. J'aurais préféré ne rien savoir sur mes vrais parents. Non, j'aurais préféré ne rien savoir du tout d'ailleurs. Sur tout. Je déteste les quatre personnes qui me servent de parents. Mais attendez, ne vous pressez pas, vous saurez, bientôt. Quand j'avais quelques mois, j'ai été abandonnée par mes parents. Je n'en ai pas souvenir, évidemment. J'ai été placée dans un centre d'adoption jusqu'à l'âge de cinq ans. J'étais comme la plupart des autres enfants du centre, idiote. On pensait tous que les adultes étaient des gens de notre famille et on pensait qu'on était frères et sœurs. Un jour, les gens du centre nous dirent qu'ils n'étaient pas nos parents et que l'on était pas frères et sœurs. Ceux de mon âge ne comprenait pas. Moi y comprit. Ils prirent le temps de bien nous dire que nos « parents » allaient venir nous chercher, tôt ou tard, et que eux n'étaient là que pour s'occuper de nous en attendant. On les croyait, forcément. Quelle naïveté. J'étais petite ! A un moment, plusieurs familles vinrent faire des demandes. Je voyais mes amis s'en aller les uns après les autres. Il restait toujours les plus petits que moi, mais aussi les plus grands, sauf que je ne les ai jamais rencontrés. Il y avait plusieurs tranches d'âges. Les touts petits, de quelques mois à 3 ans. Les petits, de 4 ans à 7 ans. Les enfants, de 7 à 12 ans. Les adolescents, de 12 à 16 ans. Les plus grands, de 16 à 18 ans. Le centre était énorme, enfin, il l'est toujours et existe toujours. En tout cas, quand on changeait d'âge on changeait de décor. J'en ai pas souvenir mais on nous l'a dit quand on était en âge de comprendre (cinq ans c'était suffisant).

Bref, l'année où l'on nous expliqua tout ça, comme je l'ai déjà dit, des familles venaient faire des demandes d'adoption. Les parents ne choisissaient pas les enfants, c'était selon des critères. J'y suis passée aussi, c'était à mon tour. Croyant l'explication, pour moi, c'était mes parents qui venaient me chercher. Ils étaient comme moi, aussi banals que moi. Alors je pensais que c'était vraiment mes parents. Mon père et ma mère m'acceptèrent de suite dans leur famille. Ils avaient déjà plusieurs fils (trois), nés de leurs fruits. Ma mère voulait une fille, sauf qu'elle n'y arrivait pas. Désespérée elle a décidé avec son mari d'adopter. C'est tombé sur moi ! Durant mes premières années j'ai appris à faire tout comme la famille Kazawami. Ils étaient riches. Néanmoins, ils avaient une chose derrière la tête. Je n'étais pas au courant, mais j'allais le savoir. Forcément, je l'aurais su. Ma mère était très stricte sur les choses qu'il fallait que je sache faire... en fait, je devais savoir tout faire. C'est pourquoi elle me prit des cours de bricolage, de cuisine, de nettoyage, d'informatique, de musique, d'économie et de jardinage. Bien sûr, pas tout d'un coup, ç'aurait été trop louche. Je fis d'abord quelque chose de marrant : La musique. Deux ans suffirent. J'apprenais le chant, la danse et à jouer un peu de piano. Ensuite, le bricolage, elle m'avait expliqué que tout le monde l'avait passé à 6 ans alors c'était mon tour. J'appris en même temps l'informatique. Deux ans aussi. Puis vint le nettoyage, « pour une chambre propre » et en même temps cuisine. Deux ans. Derniers cours qui ont duré également deux ans : l'économie et le jardinage. Seulement, jusqu'à
ce jour, je n'en savais rien des raisons pour laquelle on m'avait demandé d'apprendre. Quoiqu'il en soit, j'apprenais vite, très vite. Et comprenait vite, aussi. Je n'étais pas très intelligente, juste que c'était simple à apprendre. Je ne l'ai peut être pas dit mais j'allais quand même à l'école. Pendant mes apprentissages, ma mère me montrait comment il fallait faire la cérémonie de thé.

Après ça, vers treize ans, ma mère me sollicitait pour le ménage, la cuisine, les courses, mais aussi quand elle recevait des invités et qu'elle voulait que je joue du piano. Étrangement, j'avais beau vivre avec les Kazawami depuis petite, je n'ai jamais eu le temps de me faire des liens avec eux. Ils m'évitaient et me rappelaient toujours que j'avais telle ou telle chose à faire. Je n'avais jamais été heureuse, au fond de moi. Je le savais sans le savoir. Elle me faisait travailler d'arrache-pied. Enfin, pas qu'elle. Ses fils aussi. Même mon père ! Et comme une servante. Ma mère ne cuisinait plus, n'allait plus faire les courses, ne nettoyait plus, ne réparait jamais ce qui était cassé, ne touchait plus à ce qui était informatique. A un moment, j'ai trouvé ça étrange. Elle m'avait dit que tout le monde avait eu un cours de bricolage à 6 ans. Que tout le monde avait prit des cours de tout ce que j'avais fait auparavant. J'ai découvert la supercherie. Elle me donnait un habit, elle me disait de le mettre et de faire comme si j'étais une servante : « c'est un jeu ». Oh, maintenant que j'y pense, elle ne m'a jamais, Ô grand jamais appelé par mon prénom. Dans ce temps là je m'appelais « Rei Kazawami ». De plus, j'allais dans une école différente de celle où allait mon « frère » d'un an de plus que moi. Mon école était une école gratuite et où l'on apprenait le strict minimum. N'ayant jamais pu voir l'école de mon « frère », nommé Ryu, ça m'a aussi dérangé. Une fois, j'ai demandé l'autorisation si je pouvais aller chez une amie dormir trois jours. Mes parents m'avaient regardé avec un air froid et effrayant. Je pense qu'ils ont du se dire que s'ils refusaient, j'aurais eu des doutes. J'allais vraiment aller chez une copine qui m'en devait une car je l'avais protégé. Elle avait volé un élève, de l'argent plus précisément. 150 Yens. Je me suis dénoncée et j'ai donné de l'argent. Enfin, revenons à nos moutons. Je partais normalement à l'école. J'avais demandé à ma copine, nommée Hasegawa Ai, d'aller au collège XXX. Je lui avais donnée une carte de où c'était et une photo très récente de Ryu. Je lui avais dit que je l'attendrais plus loin comme ça on rentrerait à deux. Quand elle est revenue, elle me fit son rapport. Le bâtiment était au moins trois fois plus grand que le nôtre, la cour immense aussi, avec pas mal de fleurs. Les étudiants avaient un uniforme complexe. Ils parlaient de manière soutenue et très recherchée. Certains disaient que leurs parents leurs avaient offerts des montres ou des habits de luxe ! Ceci prouvait donc pas mal de choses. Je la remerciais. En voyant le style de vie que menait Hasegawa, je l'enviais. Elle avait des parents qui l'aimaient, la saluaient, l'appelaient par son prénom. Puis elle ne faisait pas la vaisselle, ne nettoyait pas.

En rentrant chez moi, après trois jours passés chez Hasegawa, mes parents voulaient m'annoncer quelque chose. Je me souviens parfaitement de la conversation. Ils m'ont demandé de m'assoir. Néanmoins, comme je voulais l'entendre de leur bouche, qu'ils ne faisaient que m'utiliser... j'ai pris un enregistreur pour enregistrer la conversation. Si jamais elle devenait violente, il était de mon devoir de le dire aux services sociaux.


Mère : Je dois te parler. Nos fils sont déjà au courant depuis longtemps. Très longtemps. Nous ne sommes pas tes parents biologiques.
Moi : De... quoi vous parlez, Mère ? -Elle m'obligeait à l'appeler comme ça tandis que ses fils c'était maman...-
Mère : Tu es vraiment bête. Heureusement que tu n'es pas ma fille de sang, j'aurais été très déçue sinon. Je ne suis pas ta mère. Mes fils ne sont pas tes frères. Mon mari n'est pas ton père. Est-ce clair ? Je t'ai adopté dans le seul but que tu puisses être notre servante personnelle. C'était mieux que d'en payer une qui n'aurait pas été loyale.
Moi : J'en étais sûre ! Au final vous vous serviez vraiment de moi ! J'en ai marre de toute façon ! Je hais les riches ! C'est comme si j'avais été trahie !
Mère : Non, tu ne dois t'en vouloir qu'à toi même ! Tu es née, c'est de ta faute. Ce n'est pas mon problème si tes parents t'ont lâchement abandonné à quelques mois. J'aurais souhaité que tu vives plus mal que cela, mais j'aurais eu des problèmes avec la justice. J'ai préféré évité. Maintenant que tu sais... tu vas devoir nous servir jusqu'à ce que tu deviennes une adulte ! Et dans cette maison, l'âge légal est de 20 ans !
Moi : Vous n'êtes qu'une égoïste ! Je vous déteste ! Allez pourrir en Enfer ! Vous n'avez pas le droit, vieille sor-

Puis j'ai été giflé. J'ai sortit un « Ah » car elle m'avait frappé fort. Ça faisait mal.

Mère : Monte dans ta chambre ! Et prépare toi à ce que ta vie soit un vrai Enfer ! Tu n'es qu'une sale servante, tu dois respecter ta maîtresse ! Dégage de ma vue !

Je suis montée dans ma chambre après. J'ai arrêté l'enregistreur. J'ai attendu quelques jours pour que la tension baisse avant de demander si je pouvais appeler quelqu'un. Je lui avais dit Hasegawa-san. Ma " maîtresse " me laissa quand même un moment d'intimité... avec Hasegawa.

??? : Allô ?
Moi : Bonjour, ici Kazawami Rei. Pourrais-je parler à Hasegawa Ai-san, s'il vous plaît ?
??? : D'accord, je vous la passe.

Au loin j'entendais : Nee-san, Kazawami Rei à l'appareil ! Viens !

Moi : Hasegawa-san ?
Ai : Kazawami ! Qu'est-ce que t'as à m'appeler ?
Moi : Euh... j'ai besoin de te dire quelque chose.
Ai : ? Qu'est-ce qui se passe ?
Moi : J'ai oublié ! Désolée... Si je me souviens à nouveau je te le dirais à l'école !
Ai : Oh ? D'accord. A demain Kazawami ! Bonne soirée.
Moi : Oui. Bonne soirée à toi aussi et à demain !

Je ne pouvais pas lui dire ça au téléphone... Si ça avait été sur écoute, je vous dis pas ce qui se serait passé. J'avais quand même pris mes précautions. J'avais écris mon adresse sur une feuille de papier, le numéro et qu'il fallait qu'Hasegawa-san appelle pour m'aider. Ainsi que la photo que je m'étais prise lorsqu'elle m'avait frappée. Le lendemain, après l'avoir retrouvée, lors de la grande récréation, je lui avais dit mon plan.

Moi : Hasegawa-san. En fait, je me rappelais de ce que je voulais te dire, quand je t'ai appelée hier.
Ai : Pourquoi tu ne me l'as pas dit ?
Moi : Je voulais te le dire mais je me suis peut être dit que ce téléphone était sur écoute, ou que les communications pouvaient retranscrire tout ce qui s'était dit. On sait jamais, vaut mieux être prudent.
Ai : D'accord... sinon, de quoi voulais-tu me parler ?
Moi : C'est à propos de ma... euh... famille. J'ai quelques problèmes.
Ai : Quels genres de problèmes ? Ça va ?
Moi : Hem, t'as bien vu que j'étais partie à l'école avec la main sur la joue, l'autre fois. Bah ma mère m'a avoué ce jour là quelque chose. Je te laisse écouter ça.

Je lui ai fait écouté avec ce que j'ai enregistré.

Ai : C'est horrible ! Faut appeler les services sociaux !
Moi : Je sais ! Sauf que je ne peux pas le faire. Dans un manga, j'avais vu qu'une fille avait des problèmes avec son oncle. Les services sociaux ont d'abord fait une approche amicale : ils sont partis voir la famille en demandant si tout allait bien et en se présentant comme étant les services sociaux. C'est pourquoi je me suis prise en photo le jour où s'est arrivé. Tiens, voilà la photo. J'ai besoin de ton aide. Il faut que ce soit toi qui montre aux services sociaux ce qu'il m'arrive. Si j'ai assez bien calculé, s'ils vont vers les tribunaux ou s'ils perdent ma garde, la réputation de leur famille va baisser, leurs produits aussi et vont finir par ramper au sol. C'est méchant, peut être mais il faut que je le fasse si je veux être libre.
Ai : J'ai pas besoin d'y aller seule ! Viens avec moi ! C'est mieux si-
Moi : J'peux pas ! Je dois absolument rentrer à 17 heures, si je rentre plus tard je devrais fournir des explications ! On a qu'à y aller samedi ok ? Par contre, je veux que tu gardes tout ça avec toi. Si jamais ma mère trouve ça, je suis foutue et mon plan tombe à l'eau. T'es avec moi ?
Ai : Bien sûr ! On le fera samedi alors ! Courage Kazawami, supporte ça encore deux jours !
Moi : Merci, Ai ! J'espère que je pourrais compter sur toi !

Bizarrement, même si on m'a mentit toutes ses années sur mes parents... même si l'on m'a trahie ! Je fais confiance à quelqu'un pour me sortir de là. J'avais demandé si je pouvais sortir samedi. Rien qu'une fois, pour me « reposer ». Ma mère, très réticente, accepta quand même mais seulement avec une condition : que je ne sorte plus pendant deux mois (à part l'école). Je m'en fichais car j'allais sortir de ce pétrin. Le samedi arriva. J'étais très heureuse de me « reposer ». On s'était données rendez-vous juste devant. J'étais partie plus tôt car me fallait marcher. J'arrivais juste au même moment qu'Hasegawa. On demanda à parler au gérant. Puis j'avais expliqué mon problème, apporté toutes les preuves. Je pensais que ça aurait été comme dans le manga, sauf que là ils réagirent de suite. La famille perdit ma garde, les produits qu'ils vendaient chutaient et j'étais heureuse car j'avais gagné une bataille ! Pas la guerre seulement. Si je devais tomber dans une autre famille, ça m'aurait dégoûtée. Pourtant, un homme d'environ 34 ans fit son apparition. C'était mon oncle ! Et pour de vrai ! On avait fait des tests A.D.N et ça disait bien et montrait bien notre lien de parenté. Il était beaucoup plus modeste que la famille dans laquelle j'étais mais je l'aimais déjà ! Sûrement le lien de parenté qui me disait : « Ouiii, youpi, t'as trouvé le bon cheval !! » ou quelque chose comme ça. Je dois vous avouer que j'étais toute excitée à l'époque. J'emménageais avec lui dans sa maison où il avait un restaurant. Auparavant, je ne m'étais jamais très intéressée à la cuisine. Je trouvais que c'était un fardeau. Il m'a apprit à aimer la cuisine, à l'apprécier, à la faire... ça ne devenait plus une corvée.

Il m'avait redonné le sourire. Étant donné que j'avais changé de famille, il devait me retrouver un prénom. Il choisit Fumi. Mon nom de famille était Hirashikiyama, vu que c'était mon seul « parent » biologique si je peux dire ça comme ça. Je lui avais demandé qui étaient mes véritables parents. Il a préféré me dire qu'il ne fallait pas que je cherche car ils sont horribles. Il m'a quand même dit qu'ils étaient encore en vie. Néanmoins, je voulais en savoir plus sur mes parents ! J'avais que treize ans, vous savez. Mais pour le moment j'aidais mon oncle dans ses affaires : j'étais serveuse ! Mais volontaire. Je l'aidais et l'aidais encore ! C'était un peu illégal que d'employer une serveuse... mais étais-je vraiment « employée » ? Puis dans le quartier il n'y avait pas grand monde qui me détestait ou qui détestait Akira-jii-chan ! La famille Kazawami dut s'en aller et aller ailleurs. Je l'avais lu dans le journal et je devais vous avouez que ça me rendait folle de joie. C'était peut être méchant mais je dois vous dire que je ne les aimaient pas. Enfin j'étais heureuse maintenant, qu'est-ce qui pouvait casser ma vie à nouveau ? Rien... du moins jusqu'à ce jour. Dans l'année où j'avais quinze ans. Il fut une période où... les affaires allaient mal. Un vent de crise subvint par chez notre restaurant. Je ne voyais plus beaucoup de personnes et les rares qui étaient disaient que le restaurant ira mieux dans quelques mois, après que les affaires de tout le monde aient été réglées. Peut-être qu'ils arrivaient à subvenir à leurs besoins, eux. Mais nous, on ne vivait que de notre restaurant. Pas de plus. C'était... les risques du métier ? Akira-jii-chan ne pouvait pas me cacher ça plus longtemps, après tout. J'aurais fini par savoir. Le problème, je l'ai su trop tard. Je me suis dit, lorsqu'on s'est fait virés de chez nous par le huissier, que si je l'avais su plus tôt j'aurais pu aider Akira-jii-chan. Je serais partie vendre des journaux. Me faire du blé. De son côté, Akira-jii-chan n'aurait rien su. Du moins, pendant cette période dure, j'ai quand même demandé en cachette à l'huissier s'il pouvait me laisser un délai d'un mois pour arriver à tout payer de nouveau.

Pendant ce mois, j'ai fait de mon mieux. Non, ON a fait de notre mieux. Enfin, jii-chan n'était pas au courant mais on survivait. Il ne restait plus que quelque jours avant que ce fameux mois se termine. Je pensais que tout était perdu... Jii-chan était fatigué de quémander, on avait faim, c'était le milieu de la journée et on avait rien mangé depuis hier. Je m'étais souvenue du quartier de riches, je me suis dis que, peut être, si j'y allais et que je m'y effondrais là-bas, peut être qu'on me donnerait à manger ? C'était plausible, alors j'ai tout de même essayé avec les forces qui me restait. J'ai marché jusque dans la ville des riches, puis, j'ai eu la tête qui tournait, et me suis effondrée pitoyablement. Après je ne sais pas ce qu'il s'était passé. Mais, en me réveillant, j'étais dans une chambre de riches, et ça, ça m'avait étonné. J'avais tellement faim que mon ventre grognait et que j'avais du mal à rester en L sur le lit. J'entendis une voix grave, celle d'un jeune garçon plus précisément. Il me demandait comme ça allait. Je lui ai répondu d'un simple bof, moyen. Il me donna à manger, dans le lit ! Et le pire c'est que y en avait pour un régiment. La nourriture sentait agréablement bon, j'ai décidé d'y goûter... je ne sais comment, dans la soupe, trop... pâteuse ou grasse. Je ne savais pas comment expliquer ça. J'ai perdu le mot. J'avais du mentir et lui dire que c'était très bon même si c'était comme ça. Je n'avais pas eu le courage de finir, le jeune homme s'approcha de moi et prit ma cuillère pour voir quel goût ça avait. J'ai été étonnée, un riche n'était-il pas censé ne s'intéresser qu'à son assiette ? Il grimaça et me demanda comment est-ce que j'ai pu boire autant de soupe. Je lui avais dit que c'était mieux que rien et que c'était mieux que le goût de choses jetées dans les poubelles... Il avait l'air choqué, je m'excusais d'avoir abusé de sa gentillesse et que j'allais partir directement chez moi, dans la rue. Il me demanda d'expliquer ce qu'il s'était passé, mais avant cela, il se présenta et moi de même. Puis, je lui expliquais tout ce qui s'était passé, de A à Z. Il était désolé pour moi, il ne savait pas quoi faire; quand une idée soudaine lui vint à l'esprit. Travailler pour lui, Fujiwara Takeshi-san euhm, -sama, je veux dire (il était plus vieux que moi de deux ans). Il voulait savoir ce que je savais faire alors il me fit passer plusieurs tests, que ce soit dans les tâches ménagères que dans des tâches informatiques et autres. Il me prit en tant que servante et me paya pour m'aider à me sortir de cette mouise. En échange, je devais travailler pour eux en revenant de l'école, sauf que je lui dis que je ne pouvais pas car je devais aider avec le restaurant.

Il demanda à ce que des servantes aillent soutenir mon oncle. Et c'est dans les temps que j'ai pu faire en sorte que l'huissier ne vende pas la maison-restaurant. Tout était rentré dans l'ordre, je rentrais souvent tard à la maison mais je rentrais et c'était bien. Un jour, jii-chan voulu me montrer quand même la photo de mes parents biologiques, juste histoire que je vois leurs têtes. C'était vrai, il me ressemblait. Ou plutôt, je leur ressemblais. Mon père était brun aux yeux châtains et ma mère c'était l'inverse. Enfin bref, c'était la première fois qu'il me montrait qui étaient ceux qui m'avaient lâchement abandonné. Mon oncle me raconta que mon père était son frère. D'ailleurs, mes parents ont eu un autre enfant, ce qui fait que je suis grande sœur. Mon oncle m'a raconté que mes parents sont morts très récemment dans un accident d'avion, laissant mon jeune frère seul. Étant la seule famille qu'il lui reste, mon frère finit par venir jusqu'ici au bout d'une semaine. J'avais du mal à l'accepter comme mon frère, d'ailleurs il n'était même pas au courant que j'étais sa sœur. Un jour, j'ai décidé de lui parler en prenant en compte le facteur de ses parents qui sont morts. J'ai tapé à la porte de mon frère, je suis rentrée et c'est là qu'on a commencé à parler sérieusement. Je lui demandais ce que ses parents lui avaient dis durant toute sa vie. Il m'avait répondu par une grimace, c'est vrai que c'était pas très commun que sa « cousine » soit intriguée par ce genre de choses. Je lui expliquais donc tout ce que je savais. Je lui racontais ma vie durant ses seize dernières années. Il pensait que ça n'existait que dans les mangas, des histoires tordues comme ça... pourtant, ça m'était arrivé à moi. Quand je parlais de ce qui m'étais arrivé, mon cœur se serait de plus en plus, j'avais une boule dans l'estomac. Mon frère m'a comprit et m'a dit :
« Vas-y, pleure, nee-chan. Je pense que ça te fera du bien d'évacuer ce que tu as vécu. Tu te sentiras légère, j'en suis sûr. » et j'ai pleuré, pleuré et pleuré jusqu'à ce que je me sente vide. Ensuite, après avoir fini, il continua : « Nee-chan, promets moi que tu seras encore plus forte qu'avant. Promets moi que tu ne pleureras plus et que tu souriras toujours ! Quand je suis rentré dans ce foyer, j'avais peur de ses habitants. Même avec le fait que je sois l'enfant de papa et maman, tu as continué de me sourire. C'est ce qui m'a fait oublié que papa et maman étaient morts. Je pensais que c'était ma faute, mais en me souriant, tu as effacé tous mes soucis. Je veux que tu souris pour toi même, mais aussi pour les gens qui t'entourent. ». Je lui ai promis. Avant de rentrer dans l'académie, j'ai commencé à prendre des boulots à mi-temps, le samedi et le dimanche, jours où je ne travaillais pas pour Fujiwara-sama. En fait, c'était pour m'acquitter de ma dette envers lui. Il a fallut que j'attende pratiquement un an pour pouvoir le rembourser.

Je l'avais remercié pour tout ce qu'il avait fait pour moi, d'avoir prit soin de moi et de mon oncle. Quand je suis venue lui faire part de ma démission, il m'a prit par le bras et m'a embrassé en me disant « je t'aime ». Je n'avais pas osé le regarder à nouveau. Mais je suis restée là, comme une idiote. Je lui ai quand même dit que s'il voulait passer me voir à la maison, il pouvait. Puis j'ai pris la fuite. Dans une revue, mon oncle avait remarqué qu'une école pour gens aisés était construite. Il m'a inscrit pour passer des examens en tant que « prolétaire pour avoir une/des bourse(s) ». Je n'avais pas le choix, après tout, puisqu'il voulait vraiment que j'étudie correctement. Je suis passée et j'ai été reçue, avec trois bourses assez importantes. Ces bourses pouvaient me payer les études pendant trois années consécutives. Je finis par rentrer à l'académie Suigyoku pendant les vacances d'été... pas le choix, hein ?

Je garde mon job de travailleuse dans le fast-food que j'ai pris avant d'intégrer la Gakuen Suigoku.

- Job : Je travaille en temps que surveillante d'un stand à l'Emerald Kingdom. Néanmoins je ne gagne pas beaucoup mais assez pour pouvoir me faire plaisir dans c'te ville de riche... ^^"
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