-Kinjou- Partenariat

Il y a de cela quelques décénies, un riche homme d'affaires avait investie dans tout ce qui lui plaisait; Femmes, maisons, voitures, entreprises... Il n'avait donc plus rien à souhaiter, ce qui, pour un tel homme, était vexant. Il posa donc des questions à droite à gauche même à une de ses servantes qui, d'un ton désespéré et blasé lui répondit; "Que voulait vous de plus?! Un pays peut-être?!

Ce fut une véritable révélation. Il ne m'y pas longtemps à trouver une île dans les eux internationnales qui ne comptait pas une riche économie et dont la superficie lui convenait. Inutile de donner une somme pour réussir à obtenir toutes les terres et les choses suffisantes pour concidérer ce morceau de terre comme un pays à par entière. Il put ainsi profiter de sa propriété s'étandant à 90 km de hauteur (espace aérien au dessus du territoire terrestre) jusqu'à 12 milles marins depuis la côte (territoire maritime).

En voulant toujours plus, une ville fut vite construite; logements moyens et buldings commerciaux. Les gens arrivaient du monde entier pour profiter de ce paradis fiscal ouvert aux gens très diplomés mais aussi aux autre car ces même diplomés demandes beaucoup d'attention et de confort, il faut bien des gens pour occuper ces postes d'entretient, dépanage, restauration etc...

Bien entendue, notre riche homme d'affaire s'était auto-proclamé "Président" de ce payx en pleine expension qui était gouverné avec les lois les plus fondamentales piquées à quelques pays au système judiciaire bien développé. Mais, bien que s'était dans les moeurs, il n'y avait pas d'écrits comme les Droits De l'Homme, ni même de Constitution, ce qui en faisait un état facilement renversable.

Dans ses vieux jours, l'homme d'affaires décida de se poser, réfléchissant d'avantage aux problèmes de son pays et à la manière de le tenir. Ce fut en ce temps qu'il se maria et eu un fils. Quelques temps àprès, environ une vingtaine d'année, le vieille homme mourru des suites d'un cancer, laissant sa famille derrière lui ainsi que son pays en pleine construction. Comme il l'avait laisser entendre dans ses dernière paroles, son fils se trouva à la tête de la nation. Mais le jeune homme n'était pas aussi droit que son père.

Il ne ratta pas sa chance, bien au contraire, plus personne ne pu l'arrêter le jour où il arriva au pouvoir. La justice fu chambouler, bien que l'ont respectait toujours les régles précédente, le jeune homme avait décider que si il avait son mot à dire il ne pouvait être contesté. La sécurité fut négligée, les flics soudoyés et le vice s'emparra de l'île, se répendant comme une trainé de pourdre. Mais cela plaisait au jeune dirigeant qui garda l'annanyma vis-à-vis de ses citoyens pour pouvoir se déplacer librement. Bien entendu, ceux qui le servaient gardait le silence sur son visage sous peine d'execution.

Les moindres désirs de monsieurs devenaient réalités alors que le peuple se réunissait en plusieurs groupes bien distcincts. Les riches ne fréquentaient pas les pauvres et que peu les gens à la situation moyenne. Ces derniers ne profitaient pas de la sécurité des riches et étaient souvent cible des malfrats. Mais l'économie est exelente, le pays est en avance technologiquement et peut s'offrire toutes les marchandises qui lui plaisent.

Un des points positifs majeur est que, tellement l'empire économique du jeune homme est florissant, il ne prélève pas d'impot autre qu'une faible taxe, attirant beaucoup de nouveaux résidents.